En vacance dans sa Sicile natale qu’il a quittée depuis longtemps, Salvatore revoit sa famille – un oncle, une tante, un cousin – et effectue un douloureux retour dans son enfance marquée par de multiples blessures non cicatrisées. Quand à Charlie, le « cousin », il représente une sorte d’énigme, jeune et beau, il est habité, tourment
En vacance dans sa Sicile natale qu’il a quittée depuis longtemps, Salvatore revoit sa famille – un oncle, une tante, un cousin – et effectue un douloureux retour dans son enfance marquée par de multiples blessures non cicatrisées. Quand à Charlie, le « cousin », il représente une sorte d’énigme, jeune et beau, il est habité, tourmente par le désir de quitter son village et de se libérer de ce monde qui l’étouffe. Le cousin traite tout autant de la mémoire, de la violence et de la sexualité que de la famille, de l’identité et de la culture.
Le cousin
Salvatore, qui réside au Canada depuis l’âge de 11 ans, revient en Sicile en compagnie de son épouse et fait connaissance avec une famille qu’il avait depuis longtemps oubliée : un oncle, une tante et surtout, un cousin prénommé Charlie.
Un cousin qui s’avère insaisissable, d’une beauté troublante et habité de
Le cousin
Salvatore, qui réside au Canada depuis l’âge de 11 ans, revient en Sicile en compagnie de son épouse et fait connaissance avec une famille qu’il avait depuis longtemps oubliée : un oncle, une tante et surtout, un cousin prénommé Charlie.
Un cousin qui s’avère insaisissable, d’une beauté troublante et habité de désirs contradictoires : quitter une terre qui l’oppresse, mais qui d’un même souffle, le rassure puisqu’il en connaît les moindres recoins.
De son côté, ce voyage ravive en Salvatore des souvenirs qu’il croyait depuis longtemps oubliés et qui porte la cicatrice d’une enfance bohème relativement tranquille marquée par un drame. Un soir de beuverie dans un bar gai, Charlie et lui font en effet soudainement face à leurs propres démons.
Charlie laisse tomber son masque et se révèle devant un Salvatore désemparé, dégoûté et fasciné à la fois. Cette soirée sera le pivot central d’une remise en question profonde pour celui-ci.
Les personnages sont tout sauf unidimensionnels et, jusqu’à la dernière seconde, il est difficile d’anticiper leurs conduites. Le tout baigne par ailleurs dans un érotisme troublant et torride ainsi que dans des scènes fantasmagoriques et poétiques à la fois qui témoignent bien de l’écriture profondément maîtrisée de l’auteur, John Calabro.
Un roman fascinant!
Le cousin / John Calabro. Montréal : Lévesque éditeur, 2012. 159p. (Réverbération)
“The Cousin is a delightful novella. Calabro’s style is gentle and effortless, his character creation so absorbing and so right on, and of course it is a great narrative, so surprising, so bizarre, and yet so honest.”
– Sky Gilbert, author of An English Gentleman and Brother Dumb
“Calabro’s work erases the line between the ordinary and the haunting, as if he has peeled back the skin of the real to make it ‘realer.’”
– Nino Ricci, author of Lives of the Saints and The Origin of Species
“John Calabro’s The Cousin is the best written and the most successful at exploiting the form [of the Novella]
– Quill and Quire, December 2009
“The Cousin is essentially a tale of unmasking the truth. The language is crisp and clear and the Sicilian setting is beautifully recreated in fresh realistic brushstrokes… The Cousin’s use of sexuality is an original look at finding the truth about your roots and identity… the book sizzles with erotic power.”
– Prairie Fire
“Travelling between diverse dimensions, in his book, The Cousin, John Calabro offer startling images, disquieting insights into Freudian-like psyches, sexually distinctive experiences, and culturally nostalgic and realistic sentiments of a Sicily of the present and the past.”
– Marco Lettieri, University of Wisconsin-Madison
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